Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 4 ans
Histoire et songes érotiques autour de la domination féminine
J’ai atteint la limite de ce que je peux supporter, je le sais car je suis sur la corde raide de la sensibilité, tout m’attriste ou me fait rire aux éclats, je suis à fleur de peau. Je n’arrive plus à me regarder dans le miroir, je porte sur moi un masque invisible. Je vis en quelque sorte en dehors de mon corps, je m’observe et je ne m’aime pas.
Je n’aime pas celle qui dort chaque nuit bien sagement à côté de son mari, je n’aime plus celle qui joue les mamans modèles à l’école, je n’aime plus celle qui fait ses huit heures de boulot sans broncher devant son ordinateur.
Je ne m’aime plus, je ne me supporte plus !
Je suis partie seule quelques jours dans le sud pour tenter de faire le point, avancer dans ma vie. Pour ceux que j’aime, il faut que j’apprenne à vivre autrement, que j’accepte certaines choses enfouies, que j’enlève ce masque et que je vive ma vie tout simplement.
Fini de s’inventer une vie sur les réseaux sociaux et auprès des copines, mon seul ami c’est mon sex-toy. Même avec mon mari on ne fait plus rien depuis longtemps, je ne supporte plus son corps sur le mien, sa transpiration, ses caresses…
Il est dix-huit heures, ça tambourine à la porte, mes anciennes amies de la fac sont venues me chercher pour le défilé et la soirée de clôture de la Gay Pride. Avant, je me refusais à participer à ces manifestations, mais je crois qu’il est temps et mes amies l’ont deviné.
C’est l’euphorie générale, des couleurs, des sourires, tout le monde fait la fête, ça me redonne du baume au coeur. C’est beau de voir toutes ces personnes réunies pour avoir le droit de s’aimer au grand jour. Au rythme de la foule, je me laisse porter. Cependant, j’ai l’impression qu’on m’observe… Mon masque est-il tombé ? Je me sens tout à coup nue, vulnérable.
Comme si la foule s’était éloignée d’un mètre et m’observait, tournait autour de moi, j’ai la tête qui valse. Je me sens légère, tous mes sens sont en éveil, sauf la vue, que l’on vient de me prendre. Quelqu’un m’entraîne par la main, je suis bousculée à droite, à gauche, que se passe t-il ?
On me fait monter dans une voiture, je ne réagis même pas, j’ai ce bandeau sur les yeux, on m’a sûrement d r o g u é e, mais quand ? On s’arrête, mes jambes vacillent, j’en perds mes chaussures, le sol est doux comme de la soie, du sable… je suis à la plage… Je vis les choses à travers des sensations, c’est tellement étrange.
On retire mon bandeau, je suis dans une grande salle assez obscure dont le toit sont comme des sortes de tentures. Le sol est en bois, plus de sable, mais des canapés, lits, balançoires. Autour de moi des regards de femmes, elles sont allongées, toutes différentes, grandes, petites, brunes, blondes, rousses, rondes, minces, poitrines opulentes, a d o l e s c e n t es…. Mais elles ont toutes un point commun : elles sont masquées et complètement nues.
Toutes m’observent à travers leur masque, on dirait presque une peinture, elles ne bougent pas, prennent des poses langoureuses, leurs peaux sont belles, reflètent le peu de lumière.
L’une d’elle, vraisemblablement l’initiatrice, s’approche et commence à me déshabiller, elle dégrafe lentement ma chemise en lin blanche, bouton après bouton pour bientôt dévoiler aux yeux de toutes, mon triangle de dentelle qui met ma petite poitrine en valeur. Elle fait glisser ma jupe à mes pieds, je reste immobile, en culotte, telle une vierge dans l’attente.
Aucun bruit, juste celui de nos respirations communes. Soudain, l’initiatrice frappe dans ses mains. Un cortège se met en place, des petits groupes se meuvent alors autour de chaque lit de plage à baldaquin.
« Votre initiation va commencer » s’écrit –elle !
On m’installe alors sur le lit et trois belles filles masquées plutôt fines, s’approchent. Leurs mains expertes caressent mon corps, retirent mes sous-vêtements. Telles de petites anguilles, leurs doigts se faufilent partout où ils le peuvent, puis des plumes, leurs lèvres, bouches qui s’aventurent sur mon corps. Je n’ai jamais connu de telles sensations. Mes tétons sont durs, excités, c’est la première fois qu’une femme, ou plutôt que des femmes me touchent comme ça.
Le moindre millimètre de ma peau est sollicité, j’ai l’impression de ressentir chaque influx nerveux, la circulation de mon s a n g . La belle rousse est la seule à avoir un pubis fournit, son amie blonde l’embrasse devant moi et lui caresse le sexe en même temps. Que de gémissements autour de moi…. La brune au pubis parfaitement lisse et aux seins opulents se caresse les tétons devant moi, on dirait que j’assiste à un film érotique, comme si j’avais devant moi une démonstration des possibilités qu’ont les femmes de se donner du plaisir. Je suis émoustillée, elles ont juste éveillé mes sens, elles n’ont pas cherché à me donner du plaisir. Elles se le donnent entre elles de façon très experte, dans la douceur et les caresses. Je suis totalement h y p n o t i s é e par tant de beauté.
Une fois leur exhibition terminée, elles m’emmènent rencontrer le deuxième groupe. Elles sont encore trois, une aux cheveux courts teintés de rouge, une grande blonde avec la poitrine refaite, et une brune aux cheveux mi-longs avec des fesses et une cambrure indécentes. A peine suis-je entrée dans leur cercle qu’elles se jettent sur moi toutes en même temps. Je me retrouve avec une bouche sur mon entrejambe, une chatte dégoulinante sur ma langue et une paire de seins qui se frotte sur mon ventre. Le spectacle est enivrant, le suc de la blonde est délicieux, elle me remplit complètement la bouche de son nectar et se frotte sur mes lèvres, mon visage entier est bientôt recouvert de cyprine. Je me sens bien, je découvre une facette de ma sexualité que je ne voulais pas montrer. Je me tortille, je mouille telle une chienne, mon clitoris me fait mal, il est gonflé comme jamais, gorgé de s a n g , aspiré, sucé par la rouge, experte visiblement dans ce domaine. Elles ont toutes l’air de se donner autant de plaisir qu’elles m’en donnent.
Peaux contre peaux j’expérimente la douceur féminine, ça glisse, ça jouit, c’est plus que divin ! Pour la première fois je caresse des seins, je tète, je suce, je me sens tour à tour fille, femme, j’explore toutes les facettes de ma féminité. Les langues se mêlent, un baiser à quatre, des mains qui caressent en même temps, des chattes brûlantes, gluantes. Des doigts qui s’enfoncent, qui s’accélèrent, un puis plusieurs, j’ai bientôt tous les orifices comblés, la rouge s’occupant de me doigter le cul bien profondément. Elle insiste, elle m’écarte, y fourre sa langue, je vais mordre le cul de la belle brune qui s’affaire sur ma bouche, je gémis, je n’arrive plus à me contrôler, ma peau est constellée de perles de sueur. Une vraie valse de salopes masquées !
Haletante, comblée, divinement parfumée de leurs intimes effluves, on me transporte sur le troisième lit.
Une femme est allongée et cinq autres sont autour à la regarder. Elle a une belle bouche ourlée, naturellement rouge, la peau mate, de beaux seins pointus en poire, et une légère toison brune sur son mont de vénus. En me voyant arriver elle écarte les cuisses, telle une soumise, puis se tourne, se place en levrette, écarte son cul, comme pour me montrer tout ce que je peux faire avec elle. Elle est à moi, je l’ai bien compris et je vais devoir la baiser devant les autres, montrer comment je lui donne du plaisir.
Je m’approche et lui donne mon sein à lécher pendant que je fourre mes doigts entres ses petites lèvres proéminentes. Elle est déjà humide, elle m’attendait. Elle s’affaire comme si elle avait faim et qu’elle voulait faire sortir de ce sein le lait du plaisir. Elle mord, elle lèche, gobe mon aréole. Je décide de lui donner plus encore à boire, de lui ouvrir mon con dégoulinant, je m’assois littéralement sur elle et la laisse s’étouffer de gourmandise. Agile la soumise, elle me fait frétiller ! J’ai envie de la faire hurler, j’ai envie de montrer qu’une femme aussi est capable de dominer. Je ne la ménage pas, j’entre directement trois doigts dans sa chatte gluante et les enfonce un peu recourbés à l’intérieur d’elle. Elle se cambre, soulève son bassin, elle en veut plus. Je lime, je lèche en même temps pour qu’elle s’ouvre encore, je stimule son anus, ce qui n’est pas pour lui déplaire. C’est une acharnée, j’ai de la peine à la maintenir tant elle bouge.
Les masques observent, je vois que des mains se baladent des baisers s’échangent. J’embrase les troupes !
Ma chienne est maintenant à quatre pattes, je la trais avec les mains, lui tire sur les tétons, elle gémit, puis hurle quand ma main entière s’introduit dans son con. Ma main est fine et petite certes, mais mon poignet est large. C’en est trop pour elle, elle jouit et m’éjacule littéralement dessus, ce qui lui vaudra une petite fessée une fois ma main retirée.
Me voilà prête à rencontrer le dernier groupe de masquées. Je suis saisie d’une grande appréhension : je vais être entravée sur le lit, pieds et poings liés. C’est leur petite vengeance après avoir vu ce que j’ai fait subir à leur amie.
On m’installe sans délicatesse, on me glisse juste un mot pour dire stop : « MASQUE ».
Mes dominatrices au nombre de quatre sont toujours nues mais disposent d’une table où sont installés divers accessoires que je n’ai pas vraiment eu le temps de voir.
Leurs masques traduisent la domination, je ne vois pas leurs visages mais les masques choisis sont en adéquation avec ce que je vais bientôt subir.
Je n’ai pas le temps d’y penser que je reçois déjà une tape sur ma cuisse, puis l’une des filles m’installe bientôt une pince à seins. Sur le coup, j’ai mal, puis la douleur s’estompe un peu.
L’une m’embrasse goulument et me mord la lèvre inférieure. Elles me glissent un plug dans l’anus et commencent à fouetter lentement mon entrejambe. C’est une sensation étrange entre la douleur et le début du plaisir. Je mouille et l’une des dominas plonge ses doigts dans ma chatte et étale la substance sur mon ventre, l’autre lape ses doigts, et tout ce qu’elle a étalé sur moi.
Elles me détachent les pieds, me mettent à quatre pattes et me fouettent, ma peau est douloureuse, certainement rouge, je suis punie d’avoir mouillé, d’avoir eu du plaisir. Les lanières du fouet de cuir frôlent mon entre-fesses, quelle sensation, je me découvre une nouvelle zone érogène, mon gémissement leur donne alors des idées. La tatouée aux cheveux courts vient de s’équiper d’un harnais et sa copine est en train d’engluer mon anus d’un gel.
Je vais me faire sodomiser par une femme….
La pénétration est un peu brutale. J’ai mal, mais une fois dilatée, les sensations sont agréables. Les autres, pendant ce temps, continuent de me frapper les fesses, de me mordre la bouche. Elles se branlent en me regardant me faire mettre par leur copine. Je regrette presque de ne pas voir leurs visages, leurs expressions, il me manque quelque chose.
L’une d’entre elle s’est glissée sous moi et me lèche frénétiquement, tandis qu’une autre colle son pubis contre ma bouche gémissante, je n’arrive quasi plus à tenir sur mes avants bras, le plaisir est tel qu’il me fatigue. Je suis à bout, jamais au grand jamais je n’ai subi autant de sollicitations sexuelles en même temps, ma peau est devenue ultra sensible, mon entrejambe cuisante, les derniers coups dans mon cul ont raison de moi. Je m’écroule littéralement le nez dans les poils de la domina dans un râle de contentement, je transpire, je respire fort, tellement fort que quelqu’un me secoue et me demande si ça va …
Plus de masques, mais où suis-je ? Changement d’ambiance total, je suis à la maison, à Paris, dans mon appart, et il n’y a que LUI, aucune de mes créatures masquées…
Je reste sur ma fin, mais je le sais, mon masque s’est envolé, je le sais, ma vie sera désormais peuplée de femmes, je le sais je les aime depuis toujours mais m’étais toujours interdite ne serait-ce que d’y penser ou d’en rêver… enfin jusque là.
Candice Solère
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